Une belle journée de printemps,
l’air est doux , le soleil de cette fin de jour projette de belles ombres sur les places. Peut-être y-aurait -il eu une course de taureaux.
C’est l’heure où ses spectateurs auraient du se répandre sur le champs de foire se mêlant aux joueurs de boules ou envahissant les terrasses des bars, le manège de Riri et la baraque à frites.
Pourtant aujourd’hui seuls le silence et les chants des oiseaux emplissent ces lieux de fêtes abandonnés par les hommes. Comme si la nature réinvestissait son domaine spolié en s’accomodant aisément de notre absence.